Mon expérience avec l’Audio-Technica ATH-M50x : 6 mois en studio
J’ai acheté l’Audio-Technica ATH-M50x il y a maintenant 6 mois pour remplacer mon ancien casque qui commençait à fatiguer. Après avoir lu des centaines d’avis et comparé une dizaine de modèles, j’ai craqué pour ce best-seller absolu qui cartonne sur Amazon avec plus de 20 000 avis. Et franchement ? Je ne regrette rien.
Dans ce test complet de l’ATH-M50x, je vais te partager mon expérience réelle en production musicale : le bon, le moins bon, et surtout pourquoi ce casque est devenu mon outil quotidien pour tracker, mixer et produire de la musique. Pas de bullshit marketing, juste mon retour honnête après 6 mois d’utilisation intensive.
Spoiler : oui, le hype est justifié. Mais il y a quand même quelques trucs à savoir avant d’acheter.

Déballage et premières impressions de l’ATH-M50x
Ce que tu trouves dans la boîte
Première bonne surprise en ouvrant le carton : Audio-Technica ne lésine pas sur les accessoires. Tu reçois :
- Le casque ATH-M50x avec ses écouteurs pivotants à 90 degrés
- 3 câbles détachables : un câble droit de 3 mètres pour le studio, un câble spiralé extensible pour la mobilité, et un câble court de 1,2 mètre avec télécommande et micro pour smartphone
- Une housse de transport rigide en simili-cuir avec fermeture éclair
- Un adaptateur jack 6,35mm vissable de qualité
Quand tu compares ça au Beyerdynamic DT 770 PRO qui arrive avec un seul câble non-détachable et aucune housse, tu te dis qu’Audio-Technica a vraiment pensé à l’utilisateur. Ces 3 câbles, c’est un game changer : câble long en studio fixe, câble court en déplacement, câble spiralé quand je bouge entre mon desk et mon clavier. Fini les câbles qui traînent par terre.
Qualité de fabrication : solide mais pas premium
En sortant le casque de la boîte, première impression : c’est costaud. Structure en plastique renforcé noir mat, charnières métalliques, articulations bien épaisses. Ça respire la robustesse. Par contre, ne t’attends pas au premium du Sennheiser HD 650 ou du Beyerdynamic avec sa fabrication allemande. On est sur du plastique de qualité, mais ça reste du plastique.
Les écouteurs pivotent à 90 degrés dans les deux sens. C’est hyper pratique pour le monitoring DJ avec une oreille dans le casque et une oreille dehors, ou juste pour poser le casque autour du cou entre deux prises. Les charnières sont fermes, aucun jeu, ça inspire confiance pour durer dans le temps.
Le serre-tête est réglable avec des crans bien marqués. Petit détail cool : les numéros de réglage sont gravés, pas juste imprimés, donc ça ne s’effacera jamais. Tu peux mémoriser ton réglage et le retrouver instantanément si quelqu’un d’autre utilise ton casque.

Les câbles détachables : un vrai plus
Parlons deux secondes de ces câbles détachables parce que c’est vraiment un des gros points forts de l’ATH-M50x. La connexion se fait via un mini-jack 2,5mm sur l’écouteur gauche, avec un système de verrouillage à baïonnette. Ça tient super bien, impossible que ça se déconnecte accidentellement.
Le câble spiralé extensible, au début j’étais sceptique. Mais en vrai, c’est génial quand tu te déplaces entre ton desk et tes synthés. Il s’étire jusqu’à 3 mètres et revient à sa forme compacte tout seul. Par contre, il garde quand même une légère mémoire de forme avec le temps.
Le câble court avec télécommande intégrée fonctionne nickel avec iPhone et Android. Boutons play/pause, volume, prise d’appel. Parfait pour une utilisation nomade, même si honnêtement, un casque de studio à 150 euros dans le métro, faut quand même être un peu fou.
Confort de l’ATH-M50x : la vérité après 6 mois
Première utilisation : attention, ça serre
Soyons cash : les premières heures avec l’ATH-M50x, c’est pas le grand confort. Le serre-tête est vraiment serré d’origine. Genre vraiment. J’ai une tête de taille normale et après 30 minutes la première fois, j’avais mal aux tempes.
Mais c’est normal et c’est réversible. Le casque est neuf, les matériaux ne sont pas encore assouplis. La solution que j’ai appliquée et que je recommande : pose ton ATH-M50x sur une boîte à chaussures ou un gros livre pendant 24-48h. Ça va détendre le serre-tête sans le déformer. Après ça, le confort s’améliore drastiquement.
Confort après rodage : très bon sur longues sessions
Après 2-3 semaines d’utilisation, le serre-tête s’est bien assoupli et franchement, je peux maintenant porter l’ATH-M50x pendant 4-5 heures d’affilée sans gêne. C’est pas le confort légendaire du DT 770 PRO avec ses coussinets velours, mais c’est vraiment bien.
Les coussinets en simili-cuir sont épais et bien rembourrés. Ils englobent complètement les oreilles en mode circum-auriculaire, zéro pression sur le pavillon. Par contre, le simili-cuir, ça chauffe en été. Après 2h en pleine canicule, j’ai les oreilles qui transpirent. Pas rédhibitoire, mais à savoir.
Le poids est contenu : 285 grammes. Tu le sens sur la tête mais c’est pas lourd. Bien réparti grâce au serre-tête rembourré. Après 6 mois, zéro douleur cervicale ou fatigue particulière.
Isolation phonique : excellente pour du fermé
L’isolation phonique de l’ATH-M50x est vraiment bonne. Casque fermé oblige, tu es coupé du monde extérieur. Parfait pour se concentrer en production, ou pour enregistrer des voix et instruments sans fuite dans le micro.
Je travaille parfois avec la fenêtre ouverte en ville avec passage de voitures et travaux, et franchement, une fois le casque sur les oreilles et la musique lancée, je n’entends plus rien. L’isolation passive est au niveau d’un Sony MDR-7506, voire légèrement meilleure.
Et inversement, quand tu écoutes de la musique, rien ne fuit vers l’extérieur. Ta copine peut dormir à côté, elle n’entendra rien. Testé et approuvé. Impossible avec un casque ouvert type HD 560S ou DT 990 PRO qui fuient comme des passoires.
Qualité sonore de l’ATH-M50x : analyse détaillée
Signature sonore : légèrement en V, fun et précis
Parlons du plus important : comment sonne l’ATH-M50x ? La signature sonore est ce qu’on appelle un léger V-shape : les basses et les aigus sont légèrement boostés par rapport aux médiums. Mais attention, c’est très subtil. On est loin des casques grand public type Beats ou Sony WH-1000XM qui bavent sur les basses.
Ce boost est intelligent : il rend le son plus engageant, plus fun, sans sacrifier la précision. Résultat, l’ATH-M50x est ultra-polyvalent. Tu peux produire, mixer, et aussi juste écouter de la musique pour le plaisir. C’est rare de trouver un casque studio qui fait les deux aussi bien.
Les basses : puissantes, percutantes, contrôlées
Les basses de l’ATH-M50x sont excellentes. Vraiment. Extension en fréquence très basse jusqu’à 30Hz facilement, impact physique présent, et surtout : contrôle parfait. Les basses claquent sans baver sur les médiums.
En production hip-hop, électro, EDM, c’est un régal. Tu sens les kicks, les 808 ont de l’impact, les sub-bass sont bien présentes. Comparé au Beyerdynamic DT 770 PRO, les basses de l’ATH-M50x sont légèrement plus marquées. C’est une question de goût : perso, j’aime bien ce petit boost, ça me donne de l’énergie en production.
Par contre, si tu cherches une neutralité absolue façon HD 560S, ce n’est pas le bon choix. L’ATH-M50x a une personnalité sonore. Mais c’est justement ce qui le rend agréable sur de longues sessions.
Les médiums : légèrement en retrait mais clairs
C’est ici que se situe le défaut de la signature en V : les médiums sont un poil en retrait. Concrètement, les voix et les guitares sont légèrement moins en avant que sur un casque ultra-plat comme le Sony MDR-7506.
En pratique, est-ce gênant ? Pas vraiment. Les voix restent claires et détaillées, juste un peu moins proéminentes. Quand je mixe des voix, je dois juste me rappeler que mon casque boost un peu les basses, donc je compense légèrement. Après 2-3 semaines, ton cerveau s’habitue et tu mixe naturellement en tenant compte de la signature du casque.
Pour du tracking vocal ou du podcast, zéro problème. La voix passe nickel, la diction est claire, tu repères facilement les sibilantes ou les problèmes de compression.
Les aigus : détaillés, brillants, jamais agressifs
Les aigus de l’ATH-M50x sont brillants et détaillés, sans tomber dans l’agressivité. Extension jusqu’à 20kHz testé avec des sweeps, avec une légère présence autour de 8-10kHz qui apporte de l’air et de la clarté.
C’est parfait pour détecter les détails : cymbales, hi-hats, réverbes, artefacts de compression… Tout est là, bien présent. Comparé au Beyerdynamic DT 990 PRO qui peut être très incisif dans les aigus voire fatiguant pour certains, l’ATH-M50x est beaucoup plus doux. Tu peux mixer 6-8 heures sans fatigue auditive.
Sur de la musique acoustique comme le jazz, le classique ou le folk, les aigus apportent une belle définition aux violons, aux pianos, aux voix féminines. C’est aéré, cristallin, agréable.
Scène sonore et imagerie stéréo
On est sur un casque fermé, donc la scène sonore est forcément plus intime qu’un casque ouvert. L’ATH-M50x offre une spatialisation correcte pour un fermé : largeur stéréo bonne, profondeur moyenne. Tu peux bien localiser les instruments dans le mix, même si ça n’atteindra jamais le niveau d’un HD 560S ou d’un DT 990 PRO ouvert.
Pour mixer en stéréo, c’est largement suffisant. Je place mes pistes, je vérifie mes panoramiques, je peaufine mes délais et réverbes sans problème. Après, pour un mastering ultra-précis avec besoin de spatialisation chirurgicale, un casque ouvert sera toujours supérieur.
L’imagerie est précise. Les transitoires sont bien définies, la séparation instrumentale est bonne. Tu peux travailler sur des arrangements complexes sans que tout se mélange en bouillie.
Utilisation en production musicale : mon retour d’expérience
Tracking et enregistrement : parfait
C’est en tracking c’est à dire l’enregistrement que l’ATH-M50x excelle vraiment. L’isolation phonique excellente permet d’enregistrer des voix ou des instruments acoustiques sans aucune fuite dans le micro. J’ai enregistré des dizaines de prises vocales avec ce casque, jamais eu de problème de bleed.
Le son est suffisamment flatteur pour que l’artiste se sente bien et donne le meilleur. Les basses un peu boostées donnent de l’énergie, c’est motivant. Et en même temps, le monitoring est assez précis pour repérer les problèmes : plosives, sibilantes, bruits de bouche…
Les câbles détachables, encore une fois, c’est hyper pratique. Câble long en studio fixe, câble court si tu enregistres en mode nomade avec juste ton laptop et une interface portable.
Mixage : très bon avec quelques limites
Pour le mixage, l’ATH-M50x fait un excellent boulot. Je l’utilise pour mes premiers mix drafts, pour travailler les balances, placer mes effets, régler mes compresseurs. Le son est assez précis pour prendre les bonnes décisions.
Par contre, pour les mix finaux et le mastering, je bascule sur mon casque ouvert avec un HD 560S. Pourquoi ? Parce que le léger boost des basses peut te faire sous-estimer les graves dans ton mix. J’ai fait l’erreur au début : mes premiers mix sur ATH-M50x manquaient de basses quand je les écoutais sur enceintes ou en voiture.
Maintenant, j’ai intégré ça dans ma méthode : je mixe à 80 pourcent sur l’ATH-M50x, puis je vérifie sur un casque plus neutre et sur mes enceintes. Le combo ATH-M50x fermé avec signature fun plus HD 560S ouvert avec neutralité est redoutable. Chacun compense les défauts de l’autre.
Production et composition : inspiration garantie
Pour la production pure comme composer des tracks, arranger, programmer des beats, l’ATH-M50x est fantastique. La signature sonore énergique te met dans le mood créatif. Les basses qui claquent, c’est motivant quand tu poses un beat hip-hop ou une ligne de basse électro.
Je l’utilise tous les jours pour composer. J’ouvre Ableton, je lance mes VST, et je me laisse porter par le son. Comparé à un casque ultra-neutre comme le Sony MDR-7506 qui peut être un peu clinical et froid, l’ATH-M50x garde un côté musical et fun.
L’impédance de 38 Ohms est parfaite pour une utilisation sur interface audio classique comme Focusrite Scarlett, Audient iD ou PreSonus. Aucun besoin d’ampli casque. Je le branche direct sur ma Scarlett 2i2, volume à 50 pourcent, et j’ai largement assez de puissance.

Monitoring DJ et live : conçu pour ça
Même si je ne suis pas DJ, l’ATH-M50x a clairement été pensé pour cet usage. Les écouteurs pivotants à 90 degrés permettent le monitoring une oreille pour le cueing. Le câble spiralé extensible est parfait pour bouger en cabine. L’isolation phonique te coupe du bruit ambiant en club.
Si tu es DJ ou que tu fais du live, c’est un excellent choix. Le son est suffisamment bass-heavy pour sentir tes kicks et tes basses en environnement bruyant. La robustesse encaisse les déplacements et les chocs.
ATH-M50x vs Beyerdynamic DT 770 PRO : le match
La question que tout le monde se pose : ATH-M50x ou DT 770 PRO ? J’ai les deux, je les utilise régulièrement. Voici mon verdict :
Confort : avantage DT 770 PRO
Le Beyerdynamic est plus confortable, point. Les coussinets velours sont incomparables, le serre-tête ne serre pas. Tu peux le porter 12 heures sans problème. L’ATH-M50x demande un rodage et reste un poil moins confortable sur ultra-longues sessions.
Son : match nul, signatures différentes
Deux signatures différentes. Le DT 770 PRO a des basses plus profondes et contrôlées, des médiums en retrait, des aigus très présents qui peuvent être fatigants. L’ATH-M50x a des basses légèrement moins profondes mais plus percutantes, des médiums plus présents, des aigus plus doux.
Choix perso : DT 770 PRO pour un son plus analytique, ATH-M50x pour un son plus fun et engageant. Dans les deux cas, excellente qualité audio.
Polyvalence : avantage ATH-M50x
L’ATH-M50x gagne sur la polyvalence grâce aux 3 câbles détachables, la housse de transport, les écouteurs pivotants. Tu peux l’utiliser en studio, en déplacement, en DJ. Le DT 770 PRO avec son câble fixe de 3m est condamné au studio fixe.
Prix : égalité à 149 euros
Les deux sont à 149 euros. Rapport qualité-prix imbattable dans les deux cas.
Mon verdict personnel
Si tu veux UN seul casque ultra-polyvalent et que tu bouges : ATH-M50x. Si tu restes 100 pourcent en studio fixe et que tu veux le confort absolu : DT 770 PRO. Idéalement, avoir les deux est le setup parfait : ATH-M50x pour tracking et prod, DT 770 PRO pour mix longue durée.
Les points forts de l’ATH-M50x après 6 mois
1. Les câbles détachables avec système de verrouillage
C’est bête, mais ça change la vie. Câble qui casse ? Tu rachètes un câble à 15 euros, pas un casque à 150 euros. Tu passes du studio fixe au nomade ? Tu changes de câble en 3 secondes.
2. La qualité sonore polyvalente
Un casque qui fait tout bien : tracking, mixage, prod, écoute plaisir. C’est rare. La signature légèrement en V est parfaitement dosée.
3. La robustesse rassurante
Après 6 mois d’utilisation quasi-quotidienne, zéro signe de faiblesse. Charnières solides, coussinets intacts, câbles nickels. J’ai confiance pour les 5-10 prochaines années.
4. L’isolation phonique excellente
Je travaille en ville, fenêtre ouverte, bruit de fond constant. Avec l’ATH-M50x, je suis dans ma bulle. Indispensable pour se concentrer.
5. Le rapport qualité-prix imbattable
149 euros pour un casque de ce niveau, avec 3 câbles et une housse, c’est donné. Tu as 80-90 pourcent de la qualité d’un casque à 400 euros.
6. La housse de transport rigide
Détail qui compte : la housse protège vraiment bien. Je le trimballe entre le studio et la maison, jamais eu de choc ou de rayure.
7. Les écouteurs pivotants pour monitoring DJ
Même si je ne suis pas DJ, c’est pratique pour poser le casque autour du cou ou pour écouter une oreille en comparant avec des enceintes.


Les points faibles de l’ATH-M50x soyons honnêtes
1. Le serre-tête très serré au début
Les premières heures sont inconfortables. Il FAUT faire le rodage sur une boîte pendant 24-48h. Audio-Technica devrait assouplir ça en usine.
2. Les coussinets en simili-cuir qui chauffent
En été ou après 3h d’utilisation, ça transpire. Des coussinets velours auraient été un plus mais ça se change facilement pour 25 euros sur Amazon.
3. La signature sonore pas 100 pourcent neutre
Si tu cherches une neutralité absolue façon monitoring de référence, le Sony MDR-7506 ou le HD 560S seront mieux. L’ATH-M50x a une personnalité agréable mais une personnalité quand même.
4. La scène sonore limitée logique pour un fermé
Tu ne pourras pas comparer à un casque ouvert pour la spatialisation. C’est la contrepartie de l’isolation phonique.
5. Le câble spiralé garde une mémoire de forme
Après quelques mois, le câble spiralé ne revient plus parfaitement à sa forme compacte. Pas grave, mais un peu dommage.
Durabilité et entretien après 6 mois
Après 6 mois d’utilisation quasi-quotidienne avec 4-6h par jour en moyenne, voici l’état de mon ATH-M50x :
- Coussinets : Légère usure visible avec le simili-cuir qui commence à briller aux points de contact, mais structurellement intacts. Aucune déchirure, aucun effritement. Je pense les changer dans 1-2 ans.
- Serre-tête : Parfait, aucune usure. Le rembourrage est intact.
- Charnières et articulations : Zéro jeu, aucun craquement. Aussi ferme qu’au premier jour.
- Câbles : Nickels, aucun signe de faiblesse. Les connecteurs verrouillables tiennent parfaitement.
- Housse de transport : Quelques rayures esthétiques, mais structure impeccable.
Gros plus : tout est remplaçable sur l’ATH-M50x. Sur Amazon ou chez Audio-Technica direct, tu trouves coussinets de remplacement pour 15-25 euros, câbles de remplacement pour 10-20 euros, et même le serre-tête rembourré.
C’est un casque pensé pour durer 10-15 ans. Tu changes les consommables, et il repart comme neuf.
Pour qui est fait l’Audio-Technica ATH-M50x
Tu devrais acheter l’ATH-M50x si :
- Tu cherches un casque polyvalent pour studio et déplacements
- Tu fais de la production musicale hip-hop, électro, pop ou rock
- Tu as besoin d’un casque fermé pour enregistrer avec tracking voix et instruments
- Tu veux un son légèrement fun et motivant, pas ultra-clinique
- Tu es DJ ou tu fais du live avec monitoring et cueing
- Tu veux des câbles détachables pour différentes situations
- Ton budget est de 150 euros et tu veux le meilleur rapport qualité-prix
- Tu n’as pas d’ampli casque avec 38 Ohms facile à driver
Évite l’ATH-M50x si :
- Tu cherches une neutralité absolue pour du mastering pointilleux, préfère Sony MDR-7506 ou Sennheiser HD 560S
- Tu veux le confort ultime sur 12h d’affilée, préfère Beyerdynamic DT 770 PRO
- Tu fais uniquement du mixage et mastering, un casque ouvert sera mieux comme HD 560S ou DT 990 PRO
- Tu veux un casque pour écoute audiophile pure, prends un Sennheiser HD 650
- Tu transpires facilement et détestes le simili-cuir, prends un casque avec coussinets velours
Alternatives à l’ATH-M50x selon ton budget
Budget inférieur moins de 150 euros
Audio-Technica ATH-M40x à 99 euros : Le petit frère du M50x. Son plus neutre, un seul câble fourni, confort légèrement inférieur. Excellent choix si tu veux économiser 50 euros.
Sony MDR-7506 à 84 euros : Légende Hollywood, monitoring ultra-précis, pliable avec housse. Son plus analytique, moins fun. Parfait pour du broadcast et field recording.
Budget équivalent autour de 150 euros
Beyerdynamic DT 770 PRO 80 Ohm à 149 euros : Le concurrent direct. Confort supérieur, basses plus profondes, aigus plus marqués. Câble fixe pas détachable. Choix difficile entre les deux, question de préférence.
Sennheiser HD 280 PRO à 99 euros : Isolation phonique exceptionnelle, son neutre, très utilisé en broadcast. Moins confortable que M50x, moins fun sonore.
Budget supérieur plus de 150 euros
Beyerdynamic DT 1770 PRO à 550 euros : Version ultra-premium du DT 770 PRO. Câble détachable, coussinets interchangeables velours plus simili-cuir, son plus raffiné. Si tu as le budget.
Sennheiser HD 650 à 349 euros plus ampli casque : Si tu veux passer au niveau supérieur avec un casque ouvert audiophile. Nécessite un ampli, mais qualité sonore exceptionnelle.




